jeudi 15 novembre 2012

Démangeaisons et déchargement funéraire








J'enlace ma boustifaille comme en l'an 40.

Mes vidéos d'oran outang héo oé déodorant.

Je bistruffe l'écume qui n'use pas son maître.
Gargarise mes propres étrons pistonés.

Ton rivet n'est pas commun, grogne t'il?

Tronqué tes segments mentent poli du Polini.

Mon vermisseau se faufile comme un Grec
Grise ton interrieur humide comme un Aztèque.

Sa pauvre bergère hurle sans retenue.

C'est dans son cul qu'on cuira le bon merlu  !




"Barnabé Monguin"

jeudi 5 juillet 2012

"Discordonbleu"




J'aime les repas virils, la masculinité du porc,
Je suis aux herbes landaises ce que Hélène est au nord.

J'ai mangé dix côtes de veau au resto d'Cerrone,
Les abats sont pour la servante et la servante est bonne.

Je m'émascule à la muscul', je sens l'appel de la paella,
Je mêle caviar d'aubergine et 45 tours de Sheila.

Belle est la fonte des batteries de cuisine,
J'entends la voix des sages comme Mickaël aux latrines.

Un bon gigot d'agneau me rend Pantagruel,
Préférant le charme d'un clodo aux pratiques de Bruel.

La vue d'un rôti derrière un store est charnelle,
Age tendre et crêpes de pois ne font plus d'étincelles.

"Ignasio Belafonté"

mardi 15 mai 2012

"Carte postale des créateurs"

J'engorge tout les toucans, Georges profonde.

J'ai rempli ta boite à secrets de semence forte et chaude.

Je Louis De Funes mes roubignoles en mode lascar.

Souillon putride, je t'emmanche pour 2 dinars.


Qui pourra un jour m'arrêter?


Mon glaive de chair tendu fout l'ambiance dans la casbah.

Polisson le ensemble, fricotons comme des Mollahs .

Juteuse comme une ordonnance délivrée un mardi.

Je m'assois dans ton siège baquet, ça flaire le pissenlit.


Qui pourra un jour m'arrêter?

"Barnabé Monguin"

dimanche 22 avril 2012

"Erable et translations nocturnes"





Ivre mort devant le créateur,
La crépine, sublime soleil sans con.

L'étron noir marqué de doux sillons,
Crevette pubienne, odorante rancoeur.

Analysons les et proclame ton jugement,
Foule d'enclumes mongoles, in situ.

Grande tige sans vergogne abattue,
Libido d'éponge, sèche ou pleine suppliant.

Shanghai se vide de ces putes,
Saint Jean en Royans, remplie un négrier en entier.

Je pleure ces temps anciens aux fertiles semouliers,
Appelle le, il te remettra en place le vieux rebouteux.

Odieux dans ses frusques de sinsemillia,
De toile de jute sont fait leurs ponchos.

Torpille anale glissant en toi trop tôt,
C'est vrai, je n'ai jamais dansé le mia.

Barnabé Monguin.

"Paté Empoté"


Fieffé flanc plumé relaché,
indienne dressée avec le poing au volant du malin.
Bougne au vent qu'on tend,
tend, t'entends, tant de temps,
plan d'implant de duvet sur urètre de patrick Juvet.
Vas, soulager l'enrager,
vider, plumer le canard baqué sur siège baquet.
Fouré l'emplumé mou extasié rémoulé,
en potée du sang d'oeuf mollet.
Brisé aux reins pour rien,
canard léché sur pain moulé,
promotion canapé poule au pot biaisée,
la terrine enfermée alléchée.

Guyto Blast'

vendredi 20 avril 2012

103 SP sans accent



Boule à zéro, des grands enfants des bancs en France.
J'ai décolorisé toutes tes lettres d'amour....

Maigre butin, nos fraiches verges longues s'amoindrissent.
Catapulte mon foutre à forte distance......

Coupon gratuité, olé, olé deux points chez Pégaze.
En phase ascendante mes couilles.....


Cri dingue sorti tout droit d'un urètre flétri.
Juif sans dents mue sur le Mans....

Pilier du zinc, Jean Racine chez les putes.
Monopine, barbare turgescent et luisant....


Barnabé Monguin.