dimanche 22 avril 2012

"Erable et translations nocturnes"





Ivre mort devant le créateur,
La crépine, sublime soleil sans con.

L'étron noir marqué de doux sillons,
Crevette pubienne, odorante rancoeur.

Analysons les et proclame ton jugement,
Foule d'enclumes mongoles, in situ.

Grande tige sans vergogne abattue,
Libido d'éponge, sèche ou pleine suppliant.

Shanghai se vide de ces putes,
Saint Jean en Royans, remplie un négrier en entier.

Je pleure ces temps anciens aux fertiles semouliers,
Appelle le, il te remettra en place le vieux rebouteux.

Odieux dans ses frusques de sinsemillia,
De toile de jute sont fait leurs ponchos.

Torpille anale glissant en toi trop tôt,
C'est vrai, je n'ai jamais dansé le mia.

Barnabé Monguin.

"Paté Empoté"


Fieffé flanc plumé relaché,
indienne dressée avec le poing au volant du malin.
Bougne au vent qu'on tend,
tend, t'entends, tant de temps,
plan d'implant de duvet sur urètre de patrick Juvet.
Vas, soulager l'enrager,
vider, plumer le canard baqué sur siège baquet.
Fouré l'emplumé mou extasié rémoulé,
en potée du sang d'oeuf mollet.
Brisé aux reins pour rien,
canard léché sur pain moulé,
promotion canapé poule au pot biaisée,
la terrine enfermée alléchée.

Guyto Blast'

vendredi 20 avril 2012

103 SP sans accent



Boule à zéro, des grands enfants des bancs en France.
J'ai décolorisé toutes tes lettres d'amour....

Maigre butin, nos fraiches verges longues s'amoindrissent.
Catapulte mon foutre à forte distance......

Coupon gratuité, olé, olé deux points chez Pégaze.
En phase ascendante mes couilles.....


Cri dingue sorti tout droit d'un urètre flétri.
Juif sans dents mue sur le Mans....

Pilier du zinc, Jean Racine chez les putes.
Monopine, barbare turgescent et luisant....


Barnabé Monguin.