mardi 11 janvier 2011
MERCI
Purée d’âme, pur édam !
Non, je ne me tairais plus.
Enfin reconnu, poète disparu,
Enfant inconnu, se légiti-mue.
Une fleur, un césar…une évidence,
Vous m’avez accepté.
En votre sein, éternellement reconnaissant,
J’y ferais pouêt-pouêt et montrerai mon serpent.
Nous ferons rimer verve et verge, nature et nation.
Nous blanchirons nos spermes dans les gang-bangs suisses,
Bref, nous vivrons à l’infini.
Et c’est à vous, contemporains éclairés que je rejoins vit et tête hauts,
Qu’il m’est dû de dire :
Merci.
"Incarnation Fulgurance"
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