dimanche 18 décembre 2011

"Maigre nez du voile"






Ces roustons de metal, s'ouvrent et s'etiolent sans mal.
Mon grec fait grise mine, c'est a Tombouctou qu'on cri famine.
Sa laideur est cruelle au matin , ici les moules hinault Bernardin.

Fraiche dans toutes circonsctances, ton sexe tendu vers l'horizon rance.
Sniffer des fourmis d'enclumes, ton trou n'est point vierge il fume !
Mille bonjours du cap d'agde, ne vaudront jamais un kikou de bâtarde.

Mon casque se raye, je sommeille.
Mon casque raide, je rêve.

"Barnabé Monguin"

samedi 10 septembre 2011

"Truie-truie du diable"


Croûte gluante comme papier maché,
Coule puante sur morceau d'acier.

Le chibre fier comme Artaban,
Le fondement bien épicé,
Loppeurs baiseurs bien en rang,
C'est sur toi qu'il vont pisser.

Tes compas ouverts telles des jambes en vrac,
Le porc te salut, tu mouilles nue comme un ver
Sous les yeux de ta cataracte, tu pus par derrière
Et pète le clic-claque.

J'immortalise la scène, la remémore entre deux verres :
Je ne croiserai jamais le fer, je n'aime plus les infirmières.

"Serge Serruro"

mercredi 17 août 2011

"Fax et Rotike"



Il a pris mon revers graturexian du matin, caresse la brise anale chaude.
Sans famille de coeur filukrate chagrin, renifle mon zob à plein poumons.

Je facture à tout va, enregistre sans programmation adéquate.

Vilain dos d'âne pelé, j'arrive plus à expliquer mon cartilage.
Cokin du mal fané, boire son jute échaudé saint breuvage.

J'empale mon lama liturgique, ses frusques sont amidonnées.

FAX érotique ton tuner noir me fout la trique
FAX érotique ta page s'imprime sur ma petite bite.

FAX FAX FAX ! ERO ERO ERO ! TIQUE TIQUE TIQUE !

"Barnabé Monguin"

lundi 6 juin 2011

"LES.10.BOY"





échasses enchainées au chat
regard de la vue d'en bas
cigare éteint limé sur le mas
cougar défenestré avec wonderbra,

haché hachis aux oignons frits
marché mon ché rit
glandouille pendouille le petit
vasy viens-y 

troittoir rebouteux
prépus honéreux
arrêté heurte au feu
masqué venimeux

morue robuste
acharnée tarabuste
enfournée juste
elle déguste


"Guyto Blast'"

mercredi 25 mai 2011

"La multiprise de tous les plaisirs"



J'enracine mon zob hardi,
Dans cette cavité refroidie.

Scotch savamment collé et entouré,
Forme un triangle au clitoris plastifié.

J'attrape mon vice qui me sert d'accoudoir,
En toi ma belle je place tous mes espoirs.

Mille artifices ne pourront te replacer,
Aucun d'entre eux ne serai aussi mouillés.

En moi montent des plaisirs hurlant,
Mes gestes sont rapides et tremblant.

Soubresauts, Couleurs et haut le coeur!!!!!

Mon appendice est gonflé et luisant,
je persiste et signe d'un jet chaud et gluant.

Vaginette multiprise customisé,
De moi tu as fait un homme comblé.

"Barnabé Monguin"

mardi 3 mai 2011

"Panjabi malingre "





Veinules stridentes sur fond d'origami poussive,
J'arrose en mode multijets ton visage suave.

Mon sobriquet allume de frèles scribes,
Homo du bout Homo-debout ça pince.

Bruit dans le grumatur parfant,
Fruit en compote durable parfaite.

Ton serveur fait un service lifté,
Jute blanc sur laurent banc.

Je prend mon dragonal par voie uretrale.

Cistite! CISTIIIIIITE!!!!!!!

Je missile mon anus de suppos dorés.


"Barnabé Monguin"

mercredi 16 mars 2011

"Fruit dans son panier craneur"



J'ai déjà tarabusté une mouche à merde,
Son haleine était servie sur un plateau.

Gras double dans mon cakos fourni,
Parfume ma chambre d'automate.

Brumisateur pour bouseux d'enclume,
Douleur diffuse sur mon parapet de granit.

Sur son tas d'ordure le triste tétard tend son dard, arquebuse débile dissémine son foutre.

Je suis un enfant du viol triste ,
Mon géniteur pourrai être le tien.

Cuisses de lepreu sans GPS adroit,
Je défèque des substances pas croyables.

L'ultime contrat du combat de moine,
Suite de nombre qui s'enculent faiblement.

Sur son tas d'or le joyeux tétard prend son bar, vladimir poutine moi le zob.

"Barnabé Monguin"

jeudi 10 mars 2011

"Le cuniculaire de Montmartre"




Je m'gausse barbu j'suis l'poinçonneur d'hamdoulila,
sauce tomate aux gnons dans mon che guevara,
je n'suis ni Brigitte Bardot, ni le p'tit Gregorio.
J'enfile en aiguille: c'est la deripette en Zizi Repeto.

Mon poteau rose en plein dans le fût,
les pinardiers bien diagonaux,
Michel Topaloff en culotte de peau,
Zinedine Zagreb et coulis de rondelle,

Poulpes en feu c'est le contraire!
alors notez sur vos ordinataires:
Http de pointe, caractères sinusoïdes,
"Va te faire enculer" est inscrit bien frigide.

Je suis la face de paix dans ce monde suce profond.

"Serge Serruro"

"Vitre d'un autre monde"


Des fois je penses à mourir,
Sans partouze ni vaisselle.

Je critique un pissenlit,
Il est tellement pédé.

Nasalement des animaux,
Qui auront le droit de naître.

Pergola,pergola?

(Ouvrez les guillemets )

Je rond de bois sur tampon de règle,
N'ecoutes tu pas? Gros philanbusque?
Calculette du crime sans ondes des agraphes.
Faire couler mon bronze ne t'empile pas des blocs?
J'enrage! NON! je ne signerai pas d'autographes ce soir!
Mal de tête et stéradent mon couvrechef bas de l'aile.
Sentiment du bleu en sang de vert, Lavande anis,Parfum d'anus.

Vitre!VITRE?!

"Barnabé Monguin"

dimanche 20 février 2011

"Dans la burne électrique"











Somewhere, other the raimbaud,
Beau le lavabo, chimères déter,
Tinkiet mon gars, je vais t'faire d'la cepla, 
Dans ton anu, moulu, du jus, tu sue,

Beng beng ! Ta cepla, 
Dans le carpla tu sera, sucera, 
Illuminet, mon matou, ma grosse chatte,
Pet de foufe, tête de foune tu te doigte,

Gang beng! ficelé sur ta chaise, 
Lien métal, chien d'hydrocéphale,
Avale la chaux, fais pas le chaud, 
Tu crame mon beau, t'étais pas mon rho,

Empaillé, crémaillé, fistonné, 
Fisuré, scie sauté, grillonné,
Lèche les pieds, ligoté, vendangé,
c'est mon ils accourent, mon amour.


"Guyto Blast' "

jeudi 17 février 2011

"La Forêt des Pédés"

Dans la foret ou chaque matin je vais
Le chemin est rempli de trésors malicieux
Au détour d’un bosquet, qui d’un plastique usagé,
Qui d’une chaussette mal frottée…
Je soulève les pétales jolis, pour y trouver une belle seringue,
Encore chaude de son sida… adieu l’hortensia !
En gambadant sur les feuilles mortes, les oreilles qui ont gardé leur âme d’enfant
Pourront entendre un doux fredonnement :
Deux vieux lutins qui s’enculent, bonjour renoncule !
Ici, la féerie n’a pas de prix, mais les pipes oui,
Bois mon pipi sans lit !
Toi aussi tu y es allé, si, si !
Rappelle toi étant petit, c’était papa ou bien pépé qui t’y emmenait,
A la forêt des pédés…

"Incarnation Fulgurance"

samedi 12 février 2011

Biographie d'Igor Boulinovski

De la jaquette mousseline mordorée



En langue Slave, Boulinovski est synonyme de phare incandescent qui illumine le sentier vers la connaissance universelle.
Né dans le siècle des lumières cosmiques, son chemin était donc tout tracé. Apres de courtes études inadaptées à son génie aussi fécond qu'incomensurable, il a décidé de se retirer de la vie publique afin d'apporter paix et repos aux ames torturées de ses semblables au moyen d'une technique méditative de son invention: la psychoformosynthèse allégorique.
Vivant reclu dans une grotte du Limousin, il gratifie son epoque de quelques rares poèmes synthétiques à octuple sens, véritables psaumes vers la délivrance dont tout un chacun doit trouver la clé.
L'inaccessible maitre devrait achever son premier cycle méditatif et faire une apparition publique aux environ de 2033. Inutile de dire l'insupportable attente de ses disciples d'ici ce jour beni des dieux. (Date presumée, 13 fevrier 2033).

jeudi 10 février 2011

"Anamorphose tellurique"




Aujourd'hui il pleut
Il  pleut parce que je le veux
Je suis l'Unique, je suis l'organe vital de ce monde
Hier encore j'etais un pauvre here
L'ame en peine et en cruel manque de gruyere
Je suis alors sorti voir le monde
Et j'ai soudainement recu la lumiere des Dieux
Desormais je suis au dessus d'eux

Rampez larves putrides!
Vous n'etes que de veules betes serviles
Achetez le votre Bieber meme pas en vynile
Et rassasiez-vous d'etre devenu debiles
Moi, je suis apatride
Vous en sentirez la puissance
Car ma soif est sans limite

Il peut bien s'enfuir le blaireau appeure
Il n'echappera pas a mon courroux divin
Car pas de pain, pas de Boursin!
Telle est ma loi, sans fard sans leurre
Tel va le monde, sans casque, sans airbag
Ouvert aux infames et sombres stalags
Et tu peux la chanter ta chanson de brute
Rien n'eagalera une bonne flute
A genoux ou sur la plage
Vas-y, ne sois point sage

Ha je les vois d'ici les pisse-froid
Les buzzards a chaussure cirees et col droit
Je vous meprise car je vole au dessus de vous
Vous ne me bourrerez plus le mou
Car avec moi, genou, hibou, caillou, chou
Hahaha, vous voulez rire?

Non il ne pliera pas le vieux saule
Mais pas en sauce meuniere
Cours petit agneau a lainage pourpre
Vas-y, va le chercher ton concombre
Moi, je me tapis dans l'ombre
Je regarde passer les boutres
Ca vaux mieux que de voir vos gueules de misere
Non, je ne suis pas un pipole

D'ailleurs, je te conchie, toi lecteur amorphe
Un jour tu recevras la lumiere
Tu trembleras comme la terre en colere
Tel le scarabee sur son xylophone
Tu comprendras sans sonotone
De ta mue, tu sentiras l'amorce
Et de sombre dechet fetide
Tu passeras a l'etape superieure
Le cercle des gras du bides
Les adorateurs du cassoulet superieur

Ou alors tu resteras un con
D'ailleurs je te hais.

PS: tu es laid

Angoisse?
Hahaha.

Magisme, paix

5e cercle, attends moi
5e cercle, me voila.

Humpf.

"Egyptian Rap Soda"









Mohammed Hosni Moubarak occupe le poste de président, réélu lors de référendums tous les six ans,
au point que celle-ci apparaissait comme un présage, en général funeste, aux yeux de ses habitants.
Alexandrie est la ville égyptienne qui reçoit le plus de précipitations,
les parfums protégeaient la peau et les yeux de la réverbération solaire, et masquaient l’odeur de la transpiration.
La pauvreté y est en croissance
les dirigeants arabes se sont illustrés par un silence

la forme pyramidale de la montagne qui la surplombe et son accès facile à surveiller et à protéger.
Voilà pourquoi l’aube se lève aujourd’hui pour nous sur les trois pyramides de Giseh
L’Histoire a prouvé que les choses ne se sont pas passés comme ils l’avaient prévus.
Tous les voyages en direction de l’Egypte sont suspendus.




"Edgar Flutin"

" Pustule et vent d'autan"


J'ai pris sur moi,
Trois tonnes de gras.

Venu changer,
Mon mobilier.

Repeint en rose,
Stickers sans colle tu poses.

Ta blondeur echape à l'éternelle,
Sans platre, niveaux ni truelle.

Ton sexe doux et beau
Je t'aime Valerie Damidot.


"Barnabé Monguin"

mercredi 9 février 2011

"Frédérique Hoschedé demoli mon colon"



Barbiturique de trefond,
Sont bien irradiés de ma science.

Je cligratufe des anchois droits,
Mais son canapé sans le grotesque.

Dans mes draps pleins de miettes,
Je me touche à des endroits pas croyables.

Mes pets sont précis et tendres,
Masque et tuyaux dirigés dans mon tarin d'Arabe.

"Barnabé Monguin"

mardi 8 février 2011

"Mon Blaze"

Incarnation, un carnassier
Vergetures, verges turques

Le CAC tue les cactus
La BAC bute les blacks putes
Cheikh marin, check ma rime
Une Russe prude suce ma prune brune
Et de mon blues coule le flouz

Hé dugland, t’entends ou t’es tendu ?
Fulgurance ne rime pas avec vendu

"Incarnation Fulgurance"

samedi 29 janvier 2011

"Reine du zouk"


Detester son poumon droit,
Je fais caca du rond point.

Masturbation qui detruit les moeurs,
Je lis un grain de riz souple.

Chourave du celeri rave dans une salle,
Je me drogue avec des pièces jaunes.

Souris des megalomanes du plastron,
Je vais dans les toilettes rouges.

Craquements sournois des emasculés,
Je vais saillir un suricate.

Danser dans un cube blasphématoire,
Je demande mon chemin en Iroquois.

Bouger,Traverser,Limer,Scier bois

"Barnabé Monguin"

vendredi 28 janvier 2011

"Gulmitre du Foutre"







J'ai pris des zulmok dans mon talbish,
Mais sans rotrakabich.

Pou aller dans un grogniat trés butrak,
Cri des mots fronut.

C'est n'est pas la dernière pierre chrazak,
froid,peur,brutalitée des familles.

Nul n'est entre couak marre aux canards,
trace du slip rigide.

Mais tu n'aura pas le dernier mot,
Trolak duramigo celeste.

J'ecris ces quelques mots seul,
saoul et a moitié bancal.


"Barnabé Monguin"

mardi 25 janvier 2011

"Glissements des cordes vocales"




Ma baignoire est en train de se vider en ré majeur.

Je pleuriche ma poule a mazout,
Crisse du papier crépon.

Mon seche linge a besoin d'une thérapie de groupe.

J'ouvre une bière aux milles lumières,
Bois son bois de chaine criptée.

Ma boite aux lettres a des moeurs homosexuels.

J'étrangle mon borgne en Syrie,
Grossir pour mieu manger.

Mon tourne disque se lamente sans mur.

Je voudrai faire un deug de gueule,
Castrer un castor junior.


"Barnabé Monguin"

mardi 11 janvier 2011

MERCI



Purée d’âme, pur édam !
Non, je ne me tairais plus.
Enfin reconnu, poète disparu,
Enfant inconnu, se légiti-mue.

Une fleur, un césar…une évidence,
Vous m’avez accepté.

En votre sein, éternellement reconnaissant,
J’y ferais pouêt-pouêt et montrerai mon serpent.
Nous ferons rimer verve et verge, nature et nation.
Nous blanchirons nos spermes dans les gang-bangs suisses,
Bref, nous vivrons à l’infini.

Et c’est à vous, contemporains éclairés que je rejoins vit et tête hauts,
Qu’il m’est dû de dire :

Merci.


"Incarnation Fulgurance"

mercredi 5 janvier 2011

"Hirondelle Pucelle"


 
Hirondelle pucelle
baise mes aisselles
je sale mes selles
Et te les offre

Tout coule en un jet
dans ta gorge de pompier
au feu, au feu
Ta chartres est brulante
cathod-râle cat-ether.


"Incarnation Fulgurance "